Jack Is Dead

Jack Is Dead

Jack Is Dead

En 2006, avec The Bliss, quelques membres de la petite élite du funk helvète se mettaient aux manettes d’un projet orienté pop rock. En 2007, la maturation de cette drôle d’idée et de ses musiciens voit naître Jack Is Dead et un premier album au rock affirmé. Homme de radio à Couleur 3, vieux guitariste (Few Good Men, Disfunktion, …) et jeune chanteur, Yves Zahno écume les scènes depuis de nombreuses années, tout comme Jan Peyer (BConnected, Touched By) à la basse et Blaise Cottens (Disfunktion, Mingmen) à la batterie.

“Jack est mort, vive Jack », clame le power trio en prenant pour porte-drapeau un vieux pote, Jack, fan d’AC/DC et gros buveur de Guiness, aussi margoulin que bon vivant, et surtout trop mauvais conducteur pour pouvoir découvrir l’énergie rock’n'roll que son personnage ne cesse d’inspirer. Grosses guitares, voix claire, et batterie à la frappe explosive sont les ingrédients majeurs d’un
univers musical qui se balade – comme à tombeaux ouverts – entre Van Halen et The Police,
faisant de belles haltes stoner à la Queens Of The Stone Age, énergiques à la Foo Fighters, ou mélodiques à la Red Hot Chili Peppers. Un rock’n’roll aux virages classieux, toujours maîtrisés.

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